2ème circonscription des Yvelines :
Les écologistes se lancent dans la campagne législative.
Ne laissons pas le champ libre aux pollueurs et à leurs amis du parti « des gaz de schiste et des OGM»*. EELV défendra l’intérêt général, les habitant-es de la deuxième circonscription et leur environnement lors de la législative partielle des 13 et 20 mars prochains.

Les écologistes à l’Assemblée Nationale sont les seul-es à défendre les biens communs plutôt que les intérêts particuliers. Les parlementaires écologistes ont obtenu des avancées importantes depuis qu’ils/elles sont élu-es : 0-phyto dans les espaces publics, 40% de local et 20% de bio dans la restauration collective, fin de la pub dans les programmes TV pour les enfants, etc… Nous pouvons dire à nos électeurs et nos électrices : « grâce à celles et ceux qui votent pour nous et qui nous font confiance, nous obtenons des résultats qui bénéficient à chacun et à chacune ». Comme l’ensemble des français et des françaises, nous sommes très attaché-es aux valeurs de notre République, à notre cadre de vie et à notre environnement. Tous les jours les habitant-es des Yvelines partagent avec nous leurs inquiétudes face aux nombreux projets qui les menacent : métropole du grand Paris, fusion 78-92 qui transformera les Yvelines en réserve foncière pour les Hauts-de-Seine, onéreuse ligne 18 qui menace nos agriculteurs… Peu de personnes le savent, mais il existe même un permis d’exploration des gaz de schiste sur notre circonscription, actuellement suspendu pour cause de moratoire sur la fracturation hydraulique. Alors, lorsque nous entendons « Les Républicains » déclarer qu’ils veulent être le parti « des gaz de schiste et des OGM » et mettre en danger notre santé, nous ne restons pas les bras croisés !

Ce sont Juliette Nitecki Sniter, et son suppléant Tanguy Ruellan, qui porteront la parole de l’Écologie.

Après avoir grandi à Buc et à Versailles, où elle a fait ses études, Juliette Nitecki Sniter est désormais conseillère municipale à Saint-Quentin-en-Yvelines. Son amour pour la nature et son désir de justice sociale l’ont poussé à rejoindre EELV en 2011, lorsque Éva Joly a été choisie pour les élections présidentielles. La candidature d’une femme, lanceuse d’alerte et ancienne juge d’instruction, a été pour elle le signal fort qui a provoqué son engagement. Mère de 3 jeunes enfants, Juliette Nitecki Sniter se préoccupe particulièrement de l’état dans lequel nous laisserons notre planète aux générations futures : « Pour la première fois depuis près de 50 ans, l’espérance de vie recule en France. Ma plus grande peur, c’est que nos enfants succombent d’un cancer à l’âge de 30 ans. En Île-de-France, y compris dans nos vallées et nos forêts d’Yvelines, nous respirons un air pollué par le diesel sans qu’aucune mesure ne soit prise. C’est insensé. Ma candidature est donc un engagement pour l’intérêt général, pour notre santé et pour notre environnement. C’est un acte de résistance face à tous ceux qui se préoccupent uniquement de surproduction et de finance, au mépris des français. C’est pour cela également que je me bats pour une agriculture de proximité, pour qu’on y produise une alimentation saine et non basée sur la chimie, sur l’élevage intensif et la maltraitance animale. Pour cela, nous devons tout faire pour préserver les terres agricoles et pour promouvoir des modèles respectueux des habitants, de nos paysages et de la biodiversité.»

Tanguy Ruellan est quant à lui un jeune avocat Versaillais de 34 ans. Il est tombé dans l’écologie dès le plus jeune âge. Pour lui, la transformation écologique de la société doit être la direction qui fait tant défaut actuellement en France et en Europe : « La transition écologique est un cap. Elle est l’horizon qui donne envie aux citoyens de se retrouver, pour construire un nouveau projet commun en prenant dès aujourd’hui des décisions cohérentes». La sortie du nucléaire « technologie dangereuse, hors de prix et obsolète » ainsi que la question de l’école « devenue le terreau des inégalités sociales » lui tiennent particulièrement à cœur.

Contact presse :
David JUTIER
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